Hello 👋
Bonjour à toutes et à tous.
Tout va bien par ici ? Bienvenue aux 6 nouveaux inscrits ces derniers jours !
Cette semaine, Je vais parler de deux activités bien chronophages, mais indispensables à mener dans notre vie de responsable d’un organisme de formation et/ou formateur indépendant.
Même si tu es tout petit petit comme moi !
Le développement de ton réseau
Les joies de la compta (non, reste un peu encore, ca va être bien !)
C’est parti !
📍Le développement de ton réseau
Je suis à mon compte depuis 2 ans. Contrairement à toutes mes attentes pré lancement, j’ai finalement beaucoup misé sur mon réseau professionnel pour développer mes missions clients.
C’est le truc qui m’a le plus bluffé au lancement. Je pensais que mon réseau n’était pas assez développé pour m’amener des contrats…ERREUR ! c’est ce même (petit) réseau qui m’a offert mes meilleures missions.
Le réseau professionnel ET personnel, c’est une bonne base : issu de tes expériences passées ou de tes anciens collègues de promo, les potos de tonton Marius et les cousins de ton kiné…
Et en vrai, ça, c’est le plus facile.
Ensuite, il y a les autres réseaux : les Linkedin, Facebook andco.
👉 Facebook ne m’a apporté que des plans pourris
👉 Linkedin devient une sorte de réservoir de relations susceptibles de déboucher sur des missions. Je commence à avoir quelques contacts intéressants par ce biais et pourtant, je ne suis ni assez régulière, ni assez active.
Résolutions 2023 => nouveau cap => il faut que je rencontre des vrais gens dans la vraie vie. Faut que je fasse du local, des rencontres de voisinages, que j’intègre mieux le tissu local.
- “Faut que tu développe tes actions de marketing local” !
Mouais.
Jeudi dernier, me voilà donc parti avec ma petite pochette pleine de cartes de visite à l’événement du coin le SQY it.
On va pas se mentir, le lieu a de la gueule : le vélodrome national avec l’équipe de France de cyclisme qui tourne et tourne et tourne toute la journée sur la piste.
Et nous, on tourne et on tourne autour de petites tables, à se faire des dating de 25 minutes.
25 minutes parfois très rapides et parfois un peu plus longues. C’est le jeu.
Mon côté ronchon du social (sauvage ?) pourrait insister sur le côté un chouïa stéréotypé des personnes présentes. Mais si je quitte un peu mon propre stéréotype, je dois dire que j’ai eu de chouettes échanges.
🔎Certains pourraient déboucher vers de futurs missions, peut-être pas demain, mais dans quelques temps.
🔎 Ca m’a poussé à me pitcher mieux et de manière plus efficace au fur et à mesure des tours de tables.
🔎 J’ai compris, par la force des choses, qu’il faut préparer ces évènements. Et pas juste avec des cartes de visite ! Qu’est-ce que je viens chercher ici et pourquoi ?
🔎 Et l’importance d’assurer le suivi : petit mail de remerciement, lien vers un cas clients, partage de ressources…
Bref, le réseau, c’est du taf, mais tu dois en passer par là. A toi de prioriser les moyens à mettre en œuvre.
📍Les joies de la compta
En mars 2022, j’ai obtenu mon NDA. The famous NDA…
A savoir, le numéro de déclaration d’activité. Je suis devenue organisme de formation. Officiellement.
Les premiers mois, ça n’a pas changé grand chose. Mes contrats précédents sur des missions de formations étaient des cas particuliers : de la coopération internationale ou de la sous-traitance dont la partie formation n’était qu’une partie de la mission. En somme, on ne me l’avait jamais demandé.
Je vois bien, malgré tout, qu’il fait partie des impératifs absolument nécessaire pour déployer des actions de formation professionnelle. Bref, je l’ai et c’est tant mieux.
Ceci étant dit, l’avoir, c’est bien, le conserver, c’est mieux. Et pour ça, il faut compléter, chaque année, un Bilan Pédagogique et Financier, le BPF. <= déjà, tu n’en peux plus des acronymes, hein ?!
Je suis dessus en ce moment.
A 2 doigts de plaider la phobie administrative (y’en a qui ont essayé, non ?).
En vrai, c’est justement à cause de mes cas particuliers. Si tu ne fais que de la sous-traitance par exemple, ce n’est pas trop compliqué.
Ce qui l’est davantage, si comme moi, tu es en statut microentreprise, ce sont les obligations comptables qui vont avec. En effet, il te faut disposer d’un bilan comptable (l’annexe spécifique et le compte de résultat). Et si tu exerces des activités multiples, ces derniers doivent faire apparaître clairement la distinction des activités de formation.
Ces obligations comptables sont valables pour tout organisme de formation. Sauf qu’en micro, on s’arrache les cheveux parce que jusque là, on n’a pas eu à compléter ce type de documents. Bien souvent, on n’a même pas de comptable attitré.
Comprenez que le mois du BPF soit un peu tendu dans ces circonstances….
Une solution : se former
Pour cette année, j’ai décidé de confier mon sort quelque part entre les mains de Sainte Rita (patronne des causes perdues) et la chance. Madame la Drieets, si vous passez par là…
Et n’oublions pas l’argument suprême de la phobie administrative, que je ne m’interdis pas encore complètement de brandir si besoin !
Mais parce qu’au fond, je suis sérieuse comme professionnelle, je n’ai pas tellement envie de revivre cette situation. L’année prochaine, ma compta sera en béton !
Et pour cela, mes cours de gestion de 1ère ES au Lycée Ste Marie au siècle dernier ne m’aideront pas beaucoup.
Si je ne suis pas passée en société d’ici là (c’est en projet), je ferais appel à un comptable : chacun son boulot et son expertise.
Et en attendant, on peut aussi se former.
Ca tombe bien, ma semaine de rencontre m’a permis d’échanger avec Marie Laure Beauvallet, du cabinet Noubiz, un OF voisin 😉
Si tu es un OF en micro entreprise et que tu souhaites reprendre le pouvoir sur ta compta, va jeter un œil sur cette formation. Elle est faite spécialement pour toi. Formation en distanciel !
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A bientôt ! 👋👋
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