Hello 👋
Bonjour à toutes et à tous.
Entre jours fériés et grands ponts, j’espère que vous êtes au top !
Comment ça, se désabonner ?
Quelques réflexions sur la newsletter que vous avez devant vos yeux…
Il y a les fois ou j’anticipe : j’écris un premier draft de cette lettre en début de semaine et je me laisse quelques jours pour laisser reposer, reprendre des tournures de phrases, raccourcir…
Et puis, il y a les jeudi matin en mode : qu’est-ce que je vais bien pouvoir raconter aujourd’hui ? Bien que la régularité soit la règle la plus partagée pour toute création de contenu, quelque soit le média choisi, dans ces cas là, s’abstenir reste une solution tout à fait défendable ! Parler pour ne rien dire, à quoi bon ?
C’est ce que j’avais l’intention de faire cette semaine : pas de sujet précis en tête, pas d’inspiration spontanée…Voire, des questionnements existentiels sur l’intérêt de cette lettre dont les choix éditoriaux sont parfois un chouïa brinquebalants, me semble-t-il.
Jusqu’à ce que je repense à l’une des dernières éditions d’une newsletter auquel je suis abonnée depuis longtemps, celle de Géraldine Dormoy. Aucun rapport avec le monde de la formation…un peu avec l’écriture, mais pas que.
Dans cette édition, Géraldine évoque le commentaire d’une lectrice lui disant qu’elle lisait moins souvent ses lettres hebdomadaires, qu’elle regrettait le temps ou le contenu portait davantage sur son cheminement, sur ces interrogations. Géraldine a pris conscience suite à ce message qu’en effet, elle tendait à proposer un contenu plutôt axé “solutions” (à force d’écouter les podcasts marketing, dit-elle !).
Elle dit : “ J’ai oublié en chemin qu’une newsletter est juste quand elle suit l’évolution de son auteur(e)”
Solutions ou cheminements ?
J’ai toujours eu envie d’écrire cette news comme une chronique. Et je me rend bien compte que c’est ce qui me donne envie d’y revenir.
Le format “ersatz” de média avec une ligne éditoriale bien définie, des rubriques structurées et récurrentes, ne me convient pas. Cela demande un temps que je n’ai pas toujours. Et encore une fois, remplir pour remplir, ce n’est pas apporter de la valeur aux gens qui vous lisent.
Parfois, j’ai d’autres sujets en tête, d’autres angles que j’aimerai traiter, mais cela nécessiterait un autre ton et je me rend compte que ce n’est pas le lieu. Je suis d’ailleurs en train de réfléchir à d’autres canaux (j’ai une piste, je vous raconterais !).
Mes missions sont plurielles. Je n’ai pas d’offres fixes et j’assume ça de mieux en mieux aussi : la formation, le digital, l’accompagnement individuel à la montée en compétences, les bilans d’orientation, la coopération internationale. Le formalisme me bloque, je suis une opportuniste pragmatique !
Ici, l’environnement est safe. Vous n’aimez pas, vous vous désabonnez ! J’aime l’idée que ce soit un lieu de doutes, de questionnements, de cheminements. Et de partage. Le choix de l’outil substack est d’ailleurs lié à cette idée de partage : toutes les éditions sont accessibles une fois abonné et il est possible de commenter et se répondre.
Tout ce bla bla pour dire quoi au final ?
J’assume encore davantage le format chronique
Je parle davantage de mes projets, les wha wha wou ! comme les top galère du moment.
Je raconte ma vie pro (j’adore les récap des semaines sur Linkedin : Delphine et Marine, si vous me lisez, moi, j’adore ce type de posts, continuez !!)
Je partage mes coups de cœur du moment. Et il se peut que je sorte parfois du monde de la formation)
Je suis ok avec le fait que je ne crée pas ce contenu “pour vendre”
Il n’est pas impossible que je revienne à une édition hebdo (le poids du formalisme en moins…)
Voilà, c’est dit !
J’espère que vous resterez encore un peu ici et surtout n’hésitez pas à partager vous-mêmes vos questions du moment.
A bientôt ! 👋👋
Si on vous a transféré cette édition, n’hésitez pas à vous inscrire !
Je reste car moi aussi je raffole des tâtonnements et questionnements qui reflètent bien notre vie !